Description
La vie ne va pas toujours droit. A la fin surtout. Il se peut que cela veuille dire quelque chose. Qu’elle tente d’expurger trop de lourdeurs. Qu’elle cherche à s’alléger, qu’elle essaye de prendre un dernier essor. Ou juste un peu de hauteur. Un peu de distance. Insensiblement elle y parvient. Elle se ramifie, louvoie, serpente et finit peu à peu en ruissellements achevant de noyer les certitudes.
Rien n’est plus comme avant. Tout semble se dissoudre. Ma mère, je ne te reconnais plus. Je te cherche au creux d’improbables méandres. Je te perds, je te retrouve. Nous nous quittons sans arrêt.
A force de trébuchements se fit un équilibre, s’installa un semblant de douceur. Peut-être de l’amour. Il restait encore un peu de chemin. Nous le fîmes ensemble, dépouillées des paroles inutiles, seules, apaisées. Tu m’apparus alors magnifique et grandiose.
Rien n’est plus comme avant. Tout semble se dissoudre. Ma mère, je ne te reconnais plus. Je te cherche au creux d’improbables méandres. Je te perds, je te retrouve. Nous nous quittons sans arrêt.
A force de trébuchements se fit un équilibre, s’installa un semblant de douceur. Peut-être de l’amour. Il restait encore un peu de chemin. Nous le fîmes ensemble, dépouillées des paroles inutiles, seules, apaisées. Tu m’apparus alors magnifique et grandiose.
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